A propos
LAURA CLAUZEL
La messe en Si bémol majeur de Mozart chantée à huit ans, sur les bancs de l’Église Saint Bernard fut pour Laura une révélation et le début d’une dévotion immodérée pour la voix et l’incarnation des mots.
De ses passages à l’école Martha Graham à New York où elle fait la rencontre du contrebassiste Alex Blake
(Randy Weston, Manhattan Transfer) qu’elle invite sur ses EP, à ses formations aux cours Florent et à l’Ecole Auvray-Nauroy, Laura s’aguerrit sur scène.
Laura éprouve ce besoin insatiable de chanter tout ce qu’elle peut : du jazz, des môtets classiques, de la chanson réaliste, révolutionnaire… Dès lors, s’ensuivent de nombreuses années à chanter sur la place du Tertres et sur des scènes parisiennes.
Sur les planches, son amour pour les mots – qu’elle a pu exacerber lors de ses études en hypokhâgne/khâgne et à la Sorbonne – l’amène à défendre sur scène, en tant que chanteuse-comédienne des figures de femmes emblématiques telles que Lady Macbeth, Marie Tudor, la Tisbe etc…des auteurs comme Ludovic Longelin, Victor Hugo, Claudel, Shakespeare, Copi.
Dans le même élan, elle prête sa voix à l’oeuvre de Maryse Condé, Simone Schwarz-Bart, Lyonel Trouillot ou Laurent Gaudé que ce soit au Mucem de Marseille ou au festival des Écritures des Amériques en Guadeloupe.
Son spectacle « Cabaret d’Amour’ en tandem avec le pianiste Yuta Masuda au Hall de la Chanson à Paris reçoit les dithyrambes de la presse.
Après avoir écumé autant de scènes à chanter les mots des autres, le besoin de défendre sa propre musique et son univers personnel a fini par éclore.
Ses deux premiers EP « Paria(h) » et « Moan » aux côtés du batteur, percussionniste Sonny Troupé la révèlent à New-York où elle reçoit un award des IMA (Independent Music Awards) pour son clip Golden Boy, elle est également sur la scène de la MaMa avec le grand chanteur indien Raghunath Manet.
Pour son nouvel album « Insondable », Laura s’entoure cette fois du réalisateur Laurent Bardainne, saxophoniste, réalisateur pour Camélia Jordana et Bertrand Belin ainsi que fondateur des groupes Limousine, Tigre d’eau Douce et Poni Hoax.
La presse

"Femme flamme du jazz"
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« Silhouette fine et élégante, gestuelle gracieuse héritée d’une formation de danseuse, voix cristalline aux modulations expressives et présence scénique magnétique, Laura Clauzel est une superbe interprète du corps et de la voix. » MM, Froggy Delight’s
« La lente mélodie jouée au piano est captivante ; la voix de la chanteuse Laura Clauzel, saisissante. » Léa Marie, Konbini
«Laura Clauzel est à découvrir. Absolument. Son univers n’est pas impitoyable, mais assez sauvage et iconoclaste pour bousculer nos petites habitudes et plus certainement nous donner envie de réécouter de la musique.» Hervé Devallan RockMadeinFrance
« De la chaleur dans le coeur et d’agréables frissons dans le dos… » Grégory Lassus-Debat, Causette
« Une voix à vous déchirer l’âme, à vous donner la chair de poule, à vous emmener loin, très loin. » Nicole Bourbon, Regarts.
« Rencontrer Laura Clauzel à travers sa musique n’a rien d’une expérience anodine ; en effet, « Paria(H) » est d’une exceptionnelle perfection et d’une indéfinissable beauté, nous exposant une artiste n’hésitant pas à se mettre artistiquement à nu devant nous pour délivrer des chansons aussi bouleversantes que magistrales. L’âme dans toute sa complexe splendeur. » Raphaël Duprez, IndieMusic